06.12.22

    « Un acier vieux de 500 ans est encore dans l’assortiment – wow ! »

    Denis Vasiljevic est désormais responsable de la clientèle au service extérieur de voestalpine. Son cœur bat pour l’acier – et tout particulièrement pour celui de Kapfenberg.

    Au cours de leurs premiers mois chez voestalpine HPM Suisse, les nouveaux collaborateurs suivent une formation initiale et continue intensive. « Mais pas que les premiers mois : c’est un processus qui dure plusieurs années et qui, en réalité, n’est jamais vraiment fini », précise en riant Denis Vasiljevic, qui s’occupe des clients des cantons de Thurgovie, de Schaffhouse de Zurich et de Zoug depuis début septembre.

    au séminaire technique sur acier à outils et acier rapide organisé par BÖHLER à Kapfenberg, en Styrie. Pendant trois jours, les 28 participants ont rafraîchi leurs connaissances sur le sujet. Et ce, par rien de moins que les spécialistes du développement de l’usine la plus moderne du monde.

    C’est une occasion unique et aussi la première fois que Denis Vasiljevic voyait de ses propres yeux la production d’acier dans une grande usine. En l’occurrence, le terme « voir » ne suffit pas à décrire l’expérience : « C’est très impressionnant d’être aux premières loges face à l’intensité des pièces incandescentes, la puissance des machines et la taille spectaculaire des installations. »

    Il y a beaucoup à apprendre sur les plus de 250 produits manufacturés que BÖHLER fabrique dans cette usine. Un travail auquel Denis Vasiljevic s’attelle avec énergie et passion. Après son apprentissage et quelques années d’expérience dans la production, notamment dans la fabrication d’outils, il a bien progressé sur le plan professionnel. Après avoir travaillé dans les départements AVOR, PPS et Achats techniques, il rejoint aujourd’hui le service externe.

    Un nouveau travail, les derniers mois de ses études de technicien en processus d’entreprise ES à Saint-Gall, une formation et un environnement d’innovations techniques en constante évolution – comment trouve-t-il l’équilibre ici ? “Je suis un homme du lac”, dit-il en riant, “je préfère me détendre en nageant ou en me promenant au bord de l’eau. Même si cela est devenu un peu plus compliqué depuis mon déménagement de Rorschach à Wängi, je ne me laisse pas complètement déposséder de mon équilibre”.

    Ses voyages constituent une autre possibilité de compensation : “J’aime vivre l’histoire en voyageant. Que ce soit le Colisée à Rome ou les temples mayas au Mexique. Cela me captive. C’est pourquoi j’ai été fasciné de voir qu’ici, à l’usine de Kapfenberg, on produit de l’acier depuis plus de 500 ans. Et l’une des premières sortes, celle utilisée pour les cottes de mailles et les armures, fait même encore partie de la gamme aujourd’hui !”

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